Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Ma campag'net pour Nicolas

Archives
23 avril 2007

Réaction Carignon au premier tour

C'est mon président !!!

Publicité
17 avril 2007

N.Sarkozy Face À La Une

5 avril 2007

Un plan Marshall 2 pour les banlieues

La question des banlieues est un véritable problème de société auquel les gouvernements successifs sont confrontés depuis de nombreuses années sans trouver de réponse satisfaisantes.

Nicolas SARKOZY souhaite s'engager pour un véritable plan Marshall 2 pour sortir les banlieues de la crise et donner à leurs habitants de véritables perspectives d'avenir.

Après le plan Borloo de restructuration urbaine, qui commence à porter ses fruits, Nicolas Sarkozy souhaite que la valeur travail et le mérite deviennent les nouveaux moteurs de la politique de la ville.

Remettre la république au coeur des quartiers

« Je veux que la République se réapproprie les quartiers. Je poursuivrai le démantèlement des bandes organisées. Je conduirai un plan d'urgence pour l'éducation qui divisera par deux le nombre d'élèves des établissements les plus en difficulté. Services publics, transports en commun, commerces de proximité seront réinstallés dans les quartiers. Je permettrai aux habitants du parc HLM d'acheter leur logement afin de se réapproprier la vie de leur quartier. »

Permettre à tous les jeunes de bénéficier d'une formation et d'un salaire :

« Si je suis élu je mettrai en oeuvre un grand plan Marshall 2 de la formation pour tous les jeunes de nos quartiers, pour qu'aucun ne soit laissé de côté, pour que chacun puisse tenter sa chance, pour que chacun ait un emploi. »
En échange d'une formation, d'un emploi et d'un salaire, chaque jeune bénéficiaire sera appelé a faire des efforts d'assiduité et de travail pour justifier de ce soutien exceptionnel de l'Etat

Se donner les moyens de sortir les banlieues de la crise :

« Je consacrerai beaucoup d'argent aux banlieues, dans l'éducation, la formation, la rénovation urbaine, les services publics, les transports, l'activité économique. Je n'accepte pas qu'on se soit résigné à laisser se développer tant de ghettos scolaires et urbains. Je n'accepte pas que toute une partie de nos enfants soit discriminée à cause de la couleur de leur peau ou de leur origine sociale. Ceux qui font des efforts recevront les meilleures conditions de travail et d'éducation. Nous susciterons des vocations pour le service public, qui sera un levier de promotion sociale pour les jeunes issus des quartiers. Mais je ne laisserai aucun jeune dans l'oisiveté. Chacun devra avoir un emploi ou suivre une formation qualifiante. »
4 avril 2007

Ma part de vérité

Le nouveau livre de Nicolas Sarkozy vient de paraître. Cet ouvrage, intitulé « Ensemble » éminemment personnel, permet de mieux comprendre la démarche de Nicolas Sarkozy, d'apprendre ce qu'il souhaite pour la France et notamment de découvrir sa « part de vérité », sur laquelle nous vous proposons ici quelques extraits.

Sur l'élection présidentielle

« L'élection présidentielle, c'est pour un homme une épreuve de vérité. C'est la mise en jeu de la vérité d'un homme.

J'ai décidé d'être candidat parce que je ne me résigne pas à rester sans rien faire face aux difficultés que rencontre notre pays. J'ai décidé d'être candidat parce que je ne me résous pas à laisser à nos enfants un monde où l'avenir a cessé d'être une promesse pour devenir une menace. »

Pour une politique de la volonté

« Ma vérité, c'est que je crois en la politique, en sa capacité à transformer le monde (...) Je récuse l'idée absurde selon laquelle il n'y aurait qu'une seule politique celle de l'impuissance ... »

Etre fiers d'être français

« Etre fier d'être français n'est pas l'expression d'un nationalisme agressif, d'une arrogance culturelle ou d'un patriotisme dépassé. Etre fier d'être français, c'est être conscient de tout ce que nous avons reçu en héritage, de tout ce qu'incarne la France dans le monde d'aujourd'hui, des responsabilités particulières qui sont les nôtres dans le monde moderne. »

Mes valeurs

« Je me suis fixé un défi : faire de la lutte contre l'injustice le cheval de bataille de la droite républicaine, parce que si je me bats c'est contre l'injustice, l'inégalité, la violence. Je suis convaincu depuis toujours que l'absence de choix clair est la pire ennemie de la démocratie. »

« Mes valeurs sont celles de la droite républicaine. Ce sont des valeurs d'ordre, de dignité, de justice, de mérite, de travail, de responsabilité. »

« En un temps où la République se défait, je veux nouer avec tous les Français un nouveau pacte républicain. Ce pacte sera un pacte de confiance, de sincérité et de vérité. »
3 avril 2007

Nicolas Sarkozy améliore les finances publiques,

L'Institut Rexecode, premier centre français d'analyse et de prévisions macroéconomiques indépendant des pouvoirs publics, a rendu public le deuxième volet de son analyse des programmes économiques. Sa conclusion est sans appel : les propositions de Nicolas Sarkozy sont les seules à améliorer les finances publiques.

I. La politique dépensière de la candidate socialiste augmentera la dette publique de plus de 100 milliards d'euros

Le programme socialiste entraînera une véritable explosion des dépenses publiques (50 milliards de dépenses supplémentaires : emplois aidés, SMIC à 1 500 euros, multiplication incohérente des allocations et des aides, etc.). Les deux tiers de ces nouvelles dépenses ne seront pas couvertes par des économies correspondantes, ce qui aboutira à un solde négatif de 35 milliards d'euros.
La dette augmentera de plus de cinq points en cinq ans et s'élèvera à près de 70% du PIB (contre 64,6% aujourd'hui), soit plus de 100 milliards d'euros de dette en plus d'ici 2012.

II. Le candidat centriste creuse lui aussi la dette

Le président de l'UDF a déclaré qu'il ne prendrait « aucun engagement qui ne soit financé par une économie correspondante », mais son programme comprend en réalité 15 milliards de nouvelles dépenses publiques qui ne seront compensées ni par des économies équivalentes ni par les augmentations d'impôts qu'il a annoncées (dont neuf milliards d'euros pour la concentration des allégements de charges, une mesure au surplus dramatiquement pénalisante pour l'emploi).
La dette s'aggravera durant les cinq prochaines années. Elle atteindra 65,7% du PIB en 2012, ce qui concrètement signifie 20 milliards d'euros de dette en plus.

III. Le programme de Nicolas Sarkozy affiche un solde positif

L'ensemble des dépenses nouvelles (31,7 milliards d'euros) étant financé par des économies sur des dépenses existantes (32 Mds d'euros). Seul Nicolas Sarkozy a eu le courage de s'engager sur plusieurs mesures d'économies (non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, franchise sur les actes médicaux, alignement des régimes spéciaux de retraite, suppression des dispositifs de cessation anticipée d'activité, révision générale des programmes).

Grâce à ce programme, Nicolas. Sarkozy est le seul candidat à stabiliser la dette à son niveau actuel

Les deux études de Rexecode soulignent ainsi la cohérence et la pertinence du programme de Nicolas Sarkozy, qui est le seul à proposer aux Français les mesures indispensables pour mettre fin à la dégradation de nos finances publiques, atteindre le plein emploi et augmenter durablement le pouvoir d'achat.
Publicité
2 avril 2007

J-20

Il reste 20 jours avant le premier tour de l'élection présidentielle.

L'action des supporters doit s'intensifier au maximum afin d'utiliser chacune de ces journées pour convaincre, convaincre et convaincre encore les indécis de nous rejoindre et de voter dés le premier tour pour Nicolas Sarkozy.

C'est en effet le seul, parmi tous les candidats :
  • bénéficiant d'une aussi grande expérience de gestion locale et ministérielle réussie ;
  • ayant rassemblé, non seulement toute sa famille politique, mais bien au-delà avec une partie significative de l'UDF et des déçus du socialisme (comme La Diagonale ...) ;
  • proposant, selon l'analyse de l'institut économique indépendant Rexecode, le seul programme qui puisse relancer la croissance et l'emploi en s'appuyant sur la récompense de l'effort, du travail et du mérite ;
  • étant jugé, par les Français comme le plus crédible pour garantir leur sécurité, lutter efficacement contre l'immigration clandestine et répondre aux attentes des habitants des banlieues ;
  • ayant le courage d'aborder, sans tabou, les questions majeures pour notre pays comme celle de l'identité nationale

Nicolas Sarkozy est aussi le seul à s'engager concrètement pour:
  • augmenter le pouvoir d'achat par l'exonération sociales et fiscales des heures supplémentaires ;
  • promouvoir l'accès à la propriété par la déduction des intérêts des emprunts de l'impôt sur le revenu ;
  • soumettre le regroupement familial à des conditions liées au logement, au travail et à la connaissance du français ;
  • valoriser le travail en imposant aux bénéficiaires de minima sociaux une contrepartie à apporter à la société ;
  • s'engager contre la délinquance en instituant des peines incompressibles pour les multirécidivistes ;
  • supprimer des droits de succession pour 95 % des Français.
30 mars 2007

AUGMENTER LES PETITES RETRAITES EN REFORMANT LES REGIMES SPECIAUX

On appelle « régimes spéciaux de retraite » principalement les régimes de retraite des salariés des industries électriques et gazières (IEG, essentiellement EDF et GDF), de la SNCF, de la RATP et de la Banque de France, ainsi que ceux des marins (ENIM) et des mineurs. Sont exclus de cette catégorie les régimes agricoles et les régimes de fonctionnaires. Les régimes spéciaux de retraite comptent environ 500 000 cotisants et 1,1 M de pensionnés. Les régimes des mineurs et des marins répondent quant à eux à des situations professionnelles particulières (conditions difficiles) qu'il serait injuste de remettre en cause

1 - Les régimes spéciaux n'ont pas encore été réformés.

En 1993, la réforme Balladur des retraites a exclu de son champ d'application les fonctionnaires et les régimes spéciaux. En 2003, la réforme Fillon a été appliquée aux fonctionnaires, mais elle a encore exclu les régimes spéciaux. Il n'y a aucune raison que les régimes spéciaux de retraite ne soient pas eux aussi concernés par une réforme des régimes de retraite, qui a désormais touché les salariés du secteur privé et les fonctionnaires.

2 - Les régimes spéciaux posent d'importants problèmes en termes d'équité.

Les règles de retraite des régimes spéciaux sont souvent plus avantageuses que celle du régime général : l'âge de départ en retraite est souvent plus bas : 50 à 55 ans à la SNCF, 50 à 60 ans à la RATP, 55 à 60 ans à EDF-GDF ; la durée de cotisation est restée à 37,5 ans alors que les salariés du privé et les fonctionnaires doivent cotiser 40 ans ; il n'y a pas d'application du mécanisme d'augmentation de la durée de cotisation prévue par la réforme Fillon, ce qui signifie que les salariés des régimes spéciaux ne participent pas à l'effort collectif de maîtrise du déficit global de l'assurance vieillesse. En combinant ces avantages et quelques autres encore, la durée de retraite est beaucoup plus longue dans les régimes spéciaux que dans le régime général (6-7 ans de plus).
Les avantages de retraite des régimes spéciaux par rapport au régime général (par exemple la durée de cotisation plus faible) sont nommés « droits spécifiques » et sont mis souvent à la charge de l'Etat. C'est le cas notamment des régimes de la RATP et de la SNCF, qui reçoivent des subventions d'équilibre de la part du budget de l'Etat. Ces «droits spécifiques» coûteront à l'Etat et donc aux contribuables environ 5 milliards d'euros en 2007.

3 - En 2008, les régimes spéciaux de retraite devront donc être réformés :

Parce que, pour la plupart des régimes, en 2050, il y aura plus de retraités que de cotisants (SNCF, RATP et les IEG). Ces déséquilibres financiers vont représenter 5,7 Mds d'euros en 2050 pour les régimes SNCF, RATP et IEG (euros constants de 2003). Au regard de l'ensemble des besoins de financement du système de retraites, les enjeux ne sont certes pas très élevés (de l'ordre de 5% des besoins de financement), mais sont néanmoins réels.

Pour Nicolas Sarkozy, il s'agit d'une question élémentaire d'équité. Le devoir de la France est d'engager cette réforme pour trouver les marges de manoeuvre nécessaires pour revaloriser les petites retraites.
29 mars 2007

Nicolas Sarkozy répond aux questions des femmes

Nicolas Sarkozy a répondu récemment aux lectrices de « Femme Actuelle » Il précise ses engagements afin de favoriser l'indépendance des femmes dans notre société.

Le scandale des écarts des salaires entre hommes et femmes :
« Le principe de l'égalité est un principe sacré. C'est vrai qu'aujourd'hui en moyenne un homme gagne 15% de plus qu'une femme. Je veux organiser des l'été 2007, une conférence sociale réunissant le patronat et les syndicats de salariés. Les entreprises où il y a des inégalités auront deux ans pour régulariser la situation. Celles qui ne le feront pas auront affaire à l'inspection du travail. »

L'Etat n'a pas les moyens d'un salaire pour la mère au foyer mais ... :
Il est possible d'améliorer la situation des mères au foyer. Nicolas Sarkozy propose que ces femmes aient droit à une protection sociale autonome et que les années passées à élever leurs enfants ouvrent pour elles des droits à la retraite.

Un engagement solide pour augmenter le pouvoir d'achat :
Les gens sont pris en tenaille entre la hausse des prix et des salaires qui n'augmentent pas à cause des 35 heures. Nicolas Sarkozy propose de permettre à chacun de travailler plus pour gagner davantage : « Pour celui qui gagne 1 300 euros, travailler cinquante minute de plus par jour lui permettra d'augmenter son pouvoir d'achat de 220 Euros ». Il propose aussi de racheter les RTT. Tout cela étant exonéré de charges fiscales et sociales.

Supprimer la carte scolaire pour donner plus d'autonomie aux établissements :
La carte scolaire qui n'existe pas dans l'enseignement privé est devenue un élément de ségrégation social. Nicolas Sarkozy propose l'autonomie des établissements scolaires à hauteur de 25% de leur budget. L'évaluation de chaque établissement sera instituée afin de vérifier la réalité des résultats obtenus par les équipes enseignantes. Nicolas Sarkozy souhaite imposer aux établissements scolaires une mixité réelle en contrepartie les parents seront libres de choisir l'école de leurs enfants.

Favoriser l'accession à la propriété pour toutes les familles :
Pour faciliter l'accession à la propriété, Nicolas Sarkozy propose que l'on puisse déduire les intérêts d'emprunt de ses impôts. Il propose que l'Etat apporte sa caution pour les emprunts destinées à acheter un logement. Nicolas Sarkozy propose enfin de supprimer les droits de succession pour 95% des foyers.
28 mars 2007

Analyse des principales propositions économiques et sociales du candidat centriste

Promesses mirifiques sur les petites retraites ...
Le président de l'UDF a promis de porter les petites retraites et le minimum vieillesse à 90% du SMIC, ce qui représente un coût de l'ordre de 10 milliards d'euros pour la collectivité. Où et comment le candidat centriste trouvera-t-il les ressources nécessaires tout en réduisant les déficits et la dette ? : Mystère ... Lorsque Nicolas SARKOZY promet de revaloriser les petites retraites, il est le seul à dire comment il fait : grâce à la réforme des régimes spéciaux.

Réduction de l'endettement : des incantations sans mode d'emploi
Le candidat centriste a fait de la réduction de l'endettement le principal cheval de bataille de son combat politique. Il ne dit rien ou presque sur la manière dont il s'y prendra. Contrairement à Nicolas Sarkozy qui s'est prononcé, bien avant le candidat UDF, en faveur de l'Inscription dans notre Constitution de l'interdiction de présenter des budgets en déficit, le candidat centriste ne semble pas prêt par exemple à assumer l'objectif d'une réduction des effectifs de la fonction publique, alors que les dépenses de personnel représentent aujourd'hui près de la moitié du budget de l'Etat.

Fiscalité : une hausse déguisée !
Pour le candidat centriste, les Français ne paient pas trop d'impôts, le travail n'est pas trop taxé et les entreprises ne sont pas handicapées dans la concurrence internationale. Au contraire, l'ancien ministre de l'éducation pense que l'impôt sur le revenu n'est pas assez lourd pour ceux qui le payent : il veut plafonner les « niches fiscales ». Mais qu'est-ce que c'est que les niches fiscales ? Par exemple, l'abattement de 10% sur les pensions et les retraites, c'est une niche fiscale, comme la prime pour l'emploi ou l'exonération d'impôt sur le revenu pour l'allocation adulte handicapé ou les pensions d'orphelins, sans parler des aides à l'investissement dans le logement locatif ou les mesures qui incitent à investir en Outre-Mer ...

Tout sur les droits, rien sur les devoirs !
Une partie de nos concitoyens a été abandonnée dans un profond état d'assistanat. Il est criminel de faire comme si cette situation n'existait pas. Bien sûr, il faut revaloriser le travail et que, pour chacun, reprendre un emploi rapporte davantage que l'inactivité : tout le monde est d'accord, le candidat centriste aussi. Mais il faut aussi avoir le courage de poser le principe que le RMI sera versé demain avec une contrepartie pour le bénéficiaire ; les droits des chômeurs seront respectés, mais il aura aussi des devoirs, notamment celui de ne pas refuser plus de 2 emplois correspondant à ses compétences. Sur ce sujet, le candidat centriste est muet
Lorsque Nicolas SARKOZY annonce une réduction forte des prélèvements en même temps qu'un assainissement financier, c'est parce qu'il sait pouvoir agir contre la dépense publique inutile ou inefficace. Selon le candidat centriste, baisser le taux de prélèvements obligatoires de 4 points en 10 ans en France est impossible, Margaret THATCHER n'ayant jamais réussi ! Nos références sont différentes : la Suède par exemple a ramené son taux de prélèvements de 53% à 48% entre 1990 et 1995.
27 mars 2007

Mettre en oeuvre une véritable révolution écologique

Les engagements de Nicolas Sarkozy en faveur de l'environnement sont nombreux et détaillés, notamment en matière de transport et de développement durable :
  1. Développer les transports non polluants :

    « S'agissant des transports, nous devons être particulièrement ambitieux pour relever les défis qui se posent à nous, concilier à la fois la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre sans pénaliser la croissance et l'emploi ... »

    Nous devons également :

    • encourager les Français à moins utiliser leur voiture individuelle en développant des transports en commun rapides, confortables, sûrs, circulant sur une large amplitude horaire, en incitant au covoiturage
    • développer la création d'une pastille bleue ouvrant droit, pour les véhicules propres, au stationnement urbain gratuit, à des réductions aux péages, à des files réservées et tout autres avantages qui donneront un avantage comparatif à ce type de véhicules.
    • développer le recours à des véhicules utilisant les biocarburants par des incitations fiscales
    • développer le fret ferroviaire pour les transports longs ainsi que le ferroutage, les canaux et les autoroutes de mer
  2. Mettre l'écologie au coeur des décisions publiques :

    • Création d'un conseil stratégique du développement durable et de la lutte contre le changement climatique auprès du Président de la République,
    • Création d'un grand ministère du développement durable,
    • Création d'un comité environnemental d'éthique pour éclairer les Français de manière transparente et scientifiquement incontestable.
  3. Conforter l'énergie nucléaire :

    • Si les centrales nucléaires devaient être remplacées par des centrales au gaz, cela augmenterait nos émissions de gaz à effet de serre de 25%.
    • C'est grâce à l'énergie nucléaire que la France émet 21% de moins de gaz à effet de serre que la moyenne mondiale.
    • Nous devons maintenir et renouveler notre parc nucléaire tout en permettant à nos concitoyens le droit d'accéder à tous les documents d'information utiles aux risques nucléaires et aux méthodes utilisées en France pour les prévenir.
Publicité
1 2 3 4 5 6 > >>
Ma campag'net pour Nicolas
Publicité
Derniers commentaires
Publicité